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vendredi, 17 août 2018

L'atelier (3)

 

 

 

 

 

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Atelier de Constantin Brancusi (1876-1957), reconstitution à l'identique (1997)
[ici l'atelier 4, et détail]
sur la place du Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou,
à Paris I, photographies : septembre 2017.

 

 

 

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L'atelier (2)

 

 

 

 

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Atelier de Constantin Brancusi (1876-1957), reconstitution à l'identique (1997)
[ici l'atelier 3]
sur la place du Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou,
à Paris I, photographie : septembre 2017.

 

 

 

 

 

jeudi, 16 août 2018

Formes

 

 

 

 

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Détail de l'atelier 2 de Constantin Brancusi (1876-1957),
sur la place du Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou,
à Paris I, photographie : septembre 2017.

 

 

 

 

 

L'atelier (1)

 

 

 

 

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Atelier de Constantin Brancusi (1876-1957), reconstitution à l'identique (1997)
[ici les ateliers contigus 1 & 2]
sur la place du Centre national d'art et de culture Georges-Pompidou,
à Paris I, photographies : septembre 2017.

 

 

 

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mercredi, 15 août 2018

Tombes

 

 

 

 

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Tombe d'Olivier Larronde (1927-1965), qui avait souhaité se faire inhumer
près de la tombe, à droite,
de Stéphane Mallarmé (1842-1898),
de son fils Anatole (1871-1879),
de son épouse Marie (1835-1910)
et de sa fille Geneviève (1864-1919),
au cimetière de Samoreau, près de Vulaines-sur-Seine,
en Seine-et-Marne, photographie : septembre 2017.

 

 

 

 

mardi, 14 août 2018

De l'autre côté

 

 

 

 

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Les rives de la Seine, près de la maison de Stéphane Mallarmé,
au lieu-dit Valvins, à Vulaines-sur-Seine,
en Seine-et-Marne, photographie : septembre 2017.

 

 

 

 

jeudi, 19 juillet 2018

Le jardin du poète

 

 

 

 

 

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La maison de Stéphane Mallarmé, côté jardin,
au lieu-dit Valvins, à Vulaines-sur-Seine,
en Seine-et-Marne, photographies : septembre 2017.

 

 

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mercredi, 18 juillet 2018

La table des Mardis

 

 

 

 

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La table des « Mardis » littéraires, autour de laquelle se réunissaient les amis de Mallarmé
tous les mardis dans l'appartement du poète, rue de Rome, à Paris,
et le pot de tabac en porcelaine de Chine
,
 dans la salle à manger de la maison de Stéphane Mallarmé,
au lieu-dit Valvins, à Vulaines-sur-Seine,
en Seine-et-Marne, photographie : septembre 2017.

 

 

 

 

mardi, 17 juillet 2018

La délicatesse

 

 

 

 

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Stéphane Mallarmé, Éventail de Mademoiselle Mallarmé (1884),
 dans la maison de Stéphane Mallarmé,
au lieu-dit Valvins, à Vulaines-sur-Seine,
en Seine-et-Marne,
photographies : septembre 2017.

 

 

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Ô rêveuse, pour que je plonge
Au pur délice sans chemin,
Sache, par un subtil mensonge,
Garder mon aile dans ta main.


Une fraîcheur de crépuscule
Te vient à chaque battement
Dont le coup prisonnier recule
L’horizon délicatement.


Vertige ! voici que frissonne
L’espace comme un grand baiser
Qui, fou de naître pour personne,
Ne peut jaillir ni s’apaiser.


Sens-tu le paradis farouche

Ainsi qu’un rire enseveli
Se couler du coin de ta bouche
Au fond de l’unanime pli !


Le sceptre des rivages roses
Stagnants sur les soirs d’or, ce l’est,
Ce blanc vol fermé que tu poses
Contre le feu d’un bracelet.

 

 

 

lundi, 16 juillet 2018

La pendule du « Frisson d'hiver »

 

 

 

 

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 La pendule de Saxe (XVIIIe s.), qui apparaît dans le poème en prose « Frisson d'hiver » (1864),
dans la salle à manger de la maison de Stéphane Mallarmé,
au lieu-dit Valvins, à Vulaines-sur-Seine,
en Seine-et-Marne, photographie : septembre 2017.

 

 

« Cette pendule de Saxe, qui retarde et sonne treize heures parmi ses fleurs et ses dieux, à qui a-t-elle été ? Pense qu’elle est venue de Saxe par les longues diligences, autrefois.

(De singulières ombres pendent aux vitres usées.) »

 

                                                                  Début du poème, dans Divagations (1897).

 

 

 

 

 

dimanche, 15 juillet 2018

Promesse de la fenêtre

 

 

 

 

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Fenêtre, dans la chambre de Stéphane Mallarmé, dans sa maison
au lieu-dit Valvins, à Vulaines-sur-Seine,
en Seine-et-Marne, photographie : septembre 2017.

 

 

 

 

samedi, 14 juillet 2018

Neuf oiseaux de fer et deux oiseaux effrayés

 

 

 

 

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Par la fenêtre de mon salon, lors du Défilé aérien du 14 juillet 2018.

 

 

 

 

 

11:04 Écrit par Frédéric Tison dans Traces | Tags : frédéric tison, photographie, défilé du 14-juillet | Lien permanent | Commentaires (0) |  Facebook |

La chambre du poète

 

 

 

 

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 La chambre de Stéphane Mallarmé, dans sa maison,
au lieu-dit Valvins, à Vulaines-sur-Seine,
en Seine-et-Marne, photographie : septembre 2017.

Au premier plan, le rocking-chair du poète (rapporté de Londres ?),
sur lequel est posé son châle, offert par Méry Laurent.

 

 

 

 

vendredi, 13 juillet 2018

La porte fermée, pour Mallarmé

 

 

 

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Louis Welden Hawkins (1849-1910), La Porte fermée (1896),
dans la maison de Stéphane Mallarmé,
au lieu-dit Valvins, à Vulaines-sur-Seine,
en Seine-et-Marne,
photographies : septembre 2017.

Toile déjà prise en photographie lors de l'exposition
"Au-delà des étoiles. Le Paysage mystique de Monet à Kandinsky",
au musée d'Orsay, à Paris. C
i-dessous,
le détail de la dédicace :

 

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« à Stéphane Mallarmé, Gardien du mystère,
je donne cette porte fermée, en témoignage de
mon respect et de ma reconnaissance.
J. W. HAWKINS, 9 avril 1896 »

 

 

 

 

Reflets

 

 

 

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Edgar Degas (1834-1917), Renoir et Mallarmé (1895), photographie,
 dans la maison de Stéphane Mallarmé,
au lieu-dit Valvins, à Vulaines-sur-Seine,
en Seine-et-Marne, photographie : septembre 2017.

(Dans le miroir, on aperçoit, à gauche, les reflets de Degas et de son appareil photographique,
ainsi que, à droite, les ombres de Marie et Geneviève Mallarmé, épouse et fille du poète.)